C’est hier que s’est ouvert à la Maison de la Culture Mouloud Mammeri de Tizi-ouzou la quatrième édition du Salon Djurdjura du Couscous.

La cérémonie d’ouverture officielle était animée musicalement par la troupe Idhebalen. La chef d'entreprise et présidente de l'Association des Algériennes Managers d'Entreprises (AME), Mme Khadidja Belhadi, dira que «notre but est de donner à toutes ces femmes, qui activent pour que notre patrimoine culinaire ne s’efface pas, une visibilité afin de les encourager pour qu’elles puissent continuer à faire le beau travail qu’elles accomplissent ». Le porte parole de l’Union Générale des Commerçants et Artisans, M. Boulneouar El Hadj Tahar, qui a pris la parole pour l’occasion, dira, pour sa part, que l’artisanat, dont fait partie la préparation de couscous, est le « premier pilier pour le développement de l’économie nationale, car notre pays compte énormément d’artisans qu’il faut encadrer et aider ». Profitant, par la même occasion, notre interlocuteur ajoutera « que ce salon a vu germer l’idée d’une collaboration entre le Association des Femmes Chefs d’Entreprises et l’Union Générale des Commerçants et Artisans. Cette collaboration portera sur la création de trois zones artisanales. Ceci dans un but bien précis, celui de promouvoir l’activité artisanale dans notre pays, de créer des postes de travail, mais aussi développer l’activité touristique.
Par ailleurs, la première représentante de la maison du couscous El Gherbel, clamera « avoir trouvé sa place et être à l’aise sur le marché national ». Cette maison qui s’est forgée sa place et qui a su investir le marché national du couscous, enregistre une production de plus de 30 tonnes par semaine. « Aussi, nous comptons entamer, au cours de cette année, une opération d’exportation, vers la France notamment », déclarera-t-elle. Pour rappel, plusieurs autres associations, issues d’autres wilayas, ont pris part à ce salon du couscous. Les visiteurs auront donc la possibilité de découvrir d’autres variétés de couscous autres que le patrimoine kabyle, déjà riche en diversités. On y trouve, entre autres, des associations venues d’Alger, Blida, Chlef, Boumerdés, Bordj Bou Arreridj, Ouargla… Il y a lieu de noter que les activités se poursuivront jusqu’au 5 du mois en cours, avec au programme beaucoup de surprises que les visiteurs auront à découvrir.

La cérémonie d’ouverture officielle était animée musicalement par la troupe Idhebalen. La chef d'entreprise et présidente de l'Association des Algériennes Managers d'Entreprises (AME), Mme Khadidja Belhadi, dira que «notre but est de donner à toutes ces femmes, qui activent pour que notre patrimoine culinaire ne s’efface pas, une visibilité afin de les encourager pour qu’elles puissent continuer à faire le beau travail qu’elles accomplissent ». Le porte parole de l’Union Générale des Commerçants et Artisans, M. Boulneouar El Hadj Tahar, qui a pris la parole pour l’occasion, dira, pour sa part, que l’artisanat, dont fait partie la préparation de couscous, est le « premier pilier pour le développement de l’économie nationale, car notre pays compte énormément d’artisans qu’il faut encadrer et aider ». Profitant, par la même occasion, notre interlocuteur ajoutera « que ce salon a vu germer l’idée d’une collaboration entre le Association des Femmes Chefs d’Entreprises et l’Union Générale des Commerçants et Artisans. Cette collaboration portera sur la création de trois zones artisanales. Ceci dans un but bien précis, celui de promouvoir l’activité artisanale dans notre pays, de créer des postes de travail, mais aussi développer l’activité touristique.
Par ailleurs, la première représentante de la maison du couscous El Gherbel, clamera « avoir trouvé sa place et être à l’aise sur le marché national ». Cette maison qui s’est forgée sa place et qui a su investir le marché national du couscous, enregistre une production de plus de 30 tonnes par semaine. « Aussi, nous comptons entamer, au cours de cette année, une opération d’exportation, vers la France notamment », déclarera-t-elle. Pour rappel, plusieurs autres associations, issues d’autres wilayas, ont pris part à ce salon du couscous. Les visiteurs auront donc la possibilité de découvrir d’autres variétés de couscous autres que le patrimoine kabyle, déjà riche en diversités. On y trouve, entre autres, des associations venues d’Alger, Blida, Chlef, Boumerdés, Bordj Bou Arreridj, Ouargla… Il y a lieu de noter que les activités se poursuivront jusqu’au 5 du mois en cours, avec au programme beaucoup de surprises que les visiteurs auront à découvrir.
Tassadit Ch.
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