Idir Benaïbouche adapte «Journal d’un fou» de Nicolas Gogol : Dans l’Excellence !

«Journal d’un fou» de Nicolas Gogol, spectacle interprété en cette soirée de mardi, au palais de la Culture Moufdi Zakaria par un comédien hors pair, Idir Benaïbouche. Dans un décor nu, réduit à un banc de couleur blanche, il a su plonger l’assistance dans une ambiance typiquement littéraire et lui a ouvert une lucarne sur la littérature russe.
Avec un art consommé des expressions corporelles captivantes, Idir Benaïbouche a su créer l’illusion du réel et raconter avec talent en usant diverses techniques de théâtre. Le comédien parle français et d’une manière très correcte. Et cela dure cinquante bonnes minutes.
Il finira même en français. Assis sur une chaise au milieu du plateau, il cogite et campe plusieurs rôles. Il est fou. Il est acteur. Il est homme. Il est spectateur. Il soliloque.
Il manie, avec brio les ruptures de ton, de rythme, de temps, de mouvements. Il y a du clown en lui. Il sort de la scène. Il semble partir visiter les coulisses. Le public s’interroge. Le suit du regard. Il réagit. La pièce est scindée en deux actes traitant chacun des problématiques succinctes et particulières. Respectant la trame de l’auteur, Idir Benaïbouche a mis sa propre touche en dressant une chronique loufoque, inédite, bouleversante et intéressante.
Ce rendez vous a donc proposé, pour certains comédiens amateurs un apprentissage pour faire découvrir l’univers du 4e art.
Plusieurs lectures sont interprétées autour de cette œuvre.
On dira que cette pièce se rapproche d’une satire qui illustre une course effrénée du gain facile, qui sacrifie dans son sillage la véritable richesse de l’être humain à savoir son âme et son côté spirituel. La pièce reflète également le niveau de l’effort fourni par le comédien Idir Benaïbouche pour acquérir le langage théâtral et le domestiquer au profit de l’expression de questions sociales et autres. En tout cas, le jeu d’Idir Benaïbouche reflète l’éclectisme de sa création artistique.
Cela se ressent dans son travail. Ce spectacle est tout simplement exquis. Une explosion de talent. Il faut dire que Idir Benaïbouche n’a pas de secret pour cette réussite. Une mise en scène géniale, somptueuse et subtile. Un très beau spectacle riche en émotions.
Ce spectacle a également permis des contacts fructueux entre les hommes de théâtre qui se sont promis de faire de cette rencontre un point de départ vers un échange et une coopération soutenus.
Il finira même en français. Assis sur une chaise au milieu du plateau, il cogite et campe plusieurs rôles. Il est fou. Il est acteur. Il est homme. Il est spectateur. Il soliloque.
Il manie, avec brio les ruptures de ton, de rythme, de temps, de mouvements. Il y a du clown en lui. Il sort de la scène. Il semble partir visiter les coulisses. Le public s’interroge. Le suit du regard. Il réagit. La pièce est scindée en deux actes traitant chacun des problématiques succinctes et particulières. Respectant la trame de l’auteur, Idir Benaïbouche a mis sa propre touche en dressant une chronique loufoque, inédite, bouleversante et intéressante.
Ce rendez vous a donc proposé, pour certains comédiens amateurs un apprentissage pour faire découvrir l’univers du 4e art.
Plusieurs lectures sont interprétées autour de cette œuvre.
On dira que cette pièce se rapproche d’une satire qui illustre une course effrénée du gain facile, qui sacrifie dans son sillage la véritable richesse de l’être humain à savoir son âme et son côté spirituel. La pièce reflète également le niveau de l’effort fourni par le comédien Idir Benaïbouche pour acquérir le langage théâtral et le domestiquer au profit de l’expression de questions sociales et autres. En tout cas, le jeu d’Idir Benaïbouche reflète l’éclectisme de sa création artistique.
Cela se ressent dans son travail. Ce spectacle est tout simplement exquis. Une explosion de talent. Il faut dire que Idir Benaïbouche n’a pas de secret pour cette réussite. Une mise en scène géniale, somptueuse et subtile. Un très beau spectacle riche en émotions.
Ce spectacle a également permis des contacts fructueux entre les hommes de théâtre qui se sont promis de faire de cette rencontre un point de départ vers un échange et une coopération soutenus.
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