La fondation de la ville d’Alger remonte à l’ère des Phéniciens partis à la recherche de minéraux et ayant établi des comptoirs sur les cotes sud de la méditerranée où ils se sont installés.
L’observateur peut noter que les villes phéniciennes anciennes sont caractérisées par un cachet oriental spécifique rapporte par leurs fondateurs des cotes est de la méditerranée avec leurs us, traditions et croyances et même leurs contes et légendes qui tournent autour de la naissance de ces villes.
Selon l’historien romain Soline (troisième année grégorienne), Alger serait une ville d’origine grecque sur la base de son ancien nom ’’Ecosium’’, un mot grec compose de ’’Ecosi’’ qui veut dire vingt car elle a été fondée par 20 marins grecs qui accompagnaient hercule lors de ses randonnées en mer, en quête de découvertes.
Dès leur arrivée sur le site où est construite aujourd’hui Alger pour se reposer, Hercule et ses vingt compagnons ont été séduits par la région. Ces derniers ont décidé d’y rester et de laisser Hercule repartir seul. C’est à ce moment-là qu’il s’est dirigé vers l’isthme qui relie la péninsule ibérique au Maroc et l’a traversé, réalisant un de ses nombreux exploits en reliant les deux parties par un détroit qui a longtemps porté son nom et qui porte aujourd’hui le nom de détroit de Gibraltar.
Quant aux vingt marins, ils ont fondé la ville, l’ont baptisée la ville des vingt et l’ont cernée d’un mur qui est resté tel quel jusqu’à l’occupation romaine. Celle-ci a baptise la ville du nom d’ »Ecosium la romaine ».
Une plaque renvoyant à Ecosium (La première appellation d’Alger avant la venue des Romains)
Jusqu’au milieu du Xème siècle, seule une tribu de Berbères de Sanhadja appartenant aux Beni Mezghena était installée prés de cette ville.
Belkine, fils de l’émir Ziri (945 et 971) a pu obtenir l’autorisation de construire une ville sur ce site, qu’il a baptisée Alger Beni Mezghena. Belkine a reconstruit ce qui a été détruit de la ville romaine avec les mêmes matériaux que les romains. Le nombre d’habitants augmentait au fur et a mesure ainsi que celui des bâtiments. A ce moment, les arabes sont entrés dans le Maghreb par l’Est, au milieu du XIème siècle.
La ville des Beni Mezghena a également connu le passage des Hammadites, Almoravides, Almohades et Beni Hafs. Les Almoravides ont construit la grande mosquée de la ville d’Alger dont le minaret existe jusqu’à ce jour.
Beni Mezghena est également caractérisée par une grande église qui garde aujourd’hui ses murs graves et des photos et que les archéologues considèrent comme un des sites les plus importants et les mieux maintenus de l’histoire d’Alger.
La grande mosquée d’Alger construite par El Moravides
Cependant, les informations historiques réunies par les chercheurs sur cette ville sont insuffisantes pour donner une image complète sur sa réalité à travers le temps. Selon ce qu’on dit, les plus vieilles ruines témoignant de la réalité de son histoire demeurent les ruines romaines qui ont été découvertes en 1830 sans que cela veuille dire pour autant que la vie dans cette ville a commencé avec l’installation des romains.
L’observateur peut noter que les villes phéniciennes anciennes sont caractérisées par un cachet oriental spécifique rapporte par leurs fondateurs des cotes est de la méditerranée avec leurs us, traditions et croyances et même leurs contes et légendes qui tournent autour de la naissance de ces villes.
Selon l’historien romain Soline (troisième année grégorienne), Alger serait une ville d’origine grecque sur la base de son ancien nom ’’Ecosium’’, un mot grec compose de ’’Ecosi’’ qui veut dire vingt car elle a été fondée par 20 marins grecs qui accompagnaient hercule lors de ses randonnées en mer, en quête de découvertes.
Dès leur arrivée sur le site où est construite aujourd’hui Alger pour se reposer, Hercule et ses vingt compagnons ont été séduits par la région. Ces derniers ont décidé d’y rester et de laisser Hercule repartir seul. C’est à ce moment-là qu’il s’est dirigé vers l’isthme qui relie la péninsule ibérique au Maroc et l’a traversé, réalisant un de ses nombreux exploits en reliant les deux parties par un détroit qui a longtemps porté son nom et qui porte aujourd’hui le nom de détroit de Gibraltar.
Quant aux vingt marins, ils ont fondé la ville, l’ont baptisée la ville des vingt et l’ont cernée d’un mur qui est resté tel quel jusqu’à l’occupation romaine. Celle-ci a baptise la ville du nom d’ »Ecosium la romaine ».
Jusqu’au milieu du Xème siècle, seule une tribu de Berbères de Sanhadja appartenant aux Beni Mezghena était installée prés de cette ville.
Belkine, fils de l’émir Ziri (945 et 971) a pu obtenir l’autorisation de construire une ville sur ce site, qu’il a baptisée Alger Beni Mezghena. Belkine a reconstruit ce qui a été détruit de la ville romaine avec les mêmes matériaux que les romains. Le nombre d’habitants augmentait au fur et a mesure ainsi que celui des bâtiments. A ce moment, les arabes sont entrés dans le Maghreb par l’Est, au milieu du XIème siècle.
La ville des Beni Mezghena a également connu le passage des Hammadites, Almoravides, Almohades et Beni Hafs. Les Almoravides ont construit la grande mosquée de la ville d’Alger dont le minaret existe jusqu’à ce jour.
Beni Mezghena est également caractérisée par une grande église qui garde aujourd’hui ses murs graves et des photos et que les archéologues considèrent comme un des sites les plus importants et les mieux maintenus de l’histoire d’Alger.
Cependant, les informations historiques réunies par les chercheurs sur cette ville sont insuffisantes pour donner une image complète sur sa réalité à travers le temps. Selon ce qu’on dit, les plus vieilles ruines témoignant de la réalité de son histoire demeurent les ruines romaines qui ont été découvertes en 1830 sans que cela veuille dire pour autant que la vie dans cette ville a commencé avec l’installation des romains.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire