jeudi 13 novembre 2014

Deux films algériens en compétition au 2e Festival du cinéma "Cultural Resistance" de Beyrouth



Deux films algériens en compétition au 2e Festival du cinéma "Cultural Resistance" de Beyrouth




Les longs métrages algériens "Zanj Revolution" de Tariq Teguia et "Loubia Hamra" de Narimane Mari prennent part au 2e Festival international du cinéma "Cultural Resistance" qui s'ouvre mercredi dans cinq villes libanaises, indiquent les organisateurs.
Prévu jusqu'au 17 novembre, "Cultural Resistance" célèbre le cinéma algérien, seul représentant des pays arabes et du bassin méditerranéen avec deux films en compétition dans la section des longs métrages de fiction, aux côtés d'autres productions d'Asie et d'Europe.
"Zanj Revolution", co-production algéro-franco-libano-qatarie, a obtenu en 2013 plusieurs distinctions en France, à l'instar du Prix "Scribe pour le cinéma" et le grand prix du 28e Festival international du cinéma "Entrevue Belfort".
De son côté, "Loubia Hamra", co-production algéro-française, a reçu le prix du meilleur documentaire au Festival international du film documentaire de Copenhague (Danemark- 2013) et trois distinctions au 24e Festival international du cinéma de Marseille et a participé à plusieurs festivals au Royaume Uni, Suède, Turquie, Italie et aux Emirats Arabes Unies.
Quarante films, entre anciens et nouveaux représentant quatorze pays d'Afrique, d'Asie et d'Europe, seront projetés lors de ce festival à Beyrouth, Tripoli, Sidon, Tyr et Zahlé.
Tariq Teguia sera présent à cet évènement ainsi que sa compatriote, militante féministe Wassila Tamzali, retenue comme critique de cinéma.
Parmi les films en compétition, "Nagima"(Kazakhstan), "A Light of Asia" (Allemagne), "La Voz Dormida" (Espagne) et "Ilo Ilo" (Singapour).
Fondé en 2013 au nord du Liban à l'initiative de Jocelyne Saab, le "festival "Cultural Resistance" est conçu comme un engagement en faveur d'un avenir unifié, en ce qu'il invite à la réflexion sur des thèmes intemporels à l'instar de l'histoire, l'art, la femme et la jeunesse, selon sa promotrice.
APS

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